Un calme relatif est revenu en Afrique du Sud après une semaine de violences et de pillages qui, selon un dernier bilan du gouvernement vendredi, ont fait 212 morts. Le chef de l’Etat, Cyril Ramaphosa, a dénoncé des troubles « planifiés et coordonnés. » Des arrestations devraient suivre. Tandis que la police est pointée du doigt pour son inaptitude à assurer la sécurité, des groupes d’autodéfense se sont formés à travers le pays.