C’est le début des grandes manœuvres pour prendre de la direction du Congrès national africain (ANC), le parti au pouvoir. Samedi 22 octobre, l’ancien président, Jacob Zuma, a accusé son successeur, Cyril Ramaphosa, de « trahison » et de corruption. Ce dernier se trouve dans la tourmente en raison d’une affaire de cambriolage dans l’une de ses propriétés. Elle implique d’importantes sommes d’argent en liquide cachées dans du mobilier et supposément dissimulées au fisc.