Algérie : 50 ans d'indépendance

En collaboration avec les équipes de télévision algérienne, Maghreb-Orient Express propose une émission consacrée aux 50 ans de l'indépendance de l'Algérie.

Le désert algérien ne fait plus peur aux jeunes femmes qui veulent trouver du travail. Ingénieures, professeures ou médecins, elles partent de chez elles et s'exilent au sein de leur propre pays pour vivre en toute indépendance.

Malgré le quitus de l'Union européenne et de Paris, le résultat des législatives algériennes parait à beaucoup trop idéalement favorable au pouvoir pour être crédible.

A l'occasion des élections législatives, le président Abdelaziz Bouteflika tente de retrouver la rue des Algériens pour les convaincre d’emprunter le chemin des urnes, ouvert, mais dont il craint la désertion ce 10 mai.

Elles seront "libres et transparentes". Promesse du président Abdelaziz Bouteflika à propos des élections législatives qui se déroulent ce jeudi. Les Algériens élisent leurs 462 députés. La campagne n'a pas passionné la population. 

Quatre femmes de la société civile algérienne. Leurs parcours diffèrent, leurs buts et leurs moyens pour y parvenir également. Mais elles ont en commun de mener un combat, celui de vouloir mettre en place une société plus égalitaire.

Premier président de l'Algérie indépendante avant d'être renversé par son ministre de la défense Houari Boumedienne. Ben Bella est mort le 11 avril à Alger à l'âge de 95 ans.

18 mars 1962. Les négociateurs désignés par le général de Gaulle et le  GPRA signent à Evian les accords  qui mettent fin aux "événements d'Algérie". Un trait était tiré sur cent trente-deux ans de colonisation française en Algérie. Tout, pourtant, n'était pas dit.

50 ans après la signature des accords d'Evian qui a mis fin à la guerre d'Algérie, Abdel Hafidh raconte sa guerre d'Algérie au coeur des maquis de Kabylie. Il témoigne sur le plateau de TV5MONDE.

50 ans plus tard, peut-on parler de la guerre d'Algérie de manière dépassionnée ? Réponses avec l'historienne Sylvie Thénault, auteure de "Algérie : des événements à la guerre".

Il y a 50 ans, Khadidja  Belguenbour était maquisarde. En 1959, elle s'est engagée comme infirmière aux côtés des combattants du Front de libération nationale. Elle témoigne.

Le 17 octobre 1961, la population algérienne de la région parisienne manifeste à l’appel du F.L.N. contre un couvre-feu discriminatoire qui vient d’être instauré et pour l’indépendance de l'Algérie. Dirigée par le Préfet Maurice Papon, la police réprime férocement ses tentatives de rassemblements.

Au cours de la Toussaint Rouge ou sanglante, dans la nuit 31 octobre au 1er novembre 1954, plusieurs attentats sont perpétrés par des nationalistes du FLN dans une trentaine de points du pays. La guerre d'Algérie a commencé...