Les autorités algériennes faisaient part, vendredi 23 juillet, de leur "profonde préoccupation" à la suite des révélations de l'affaire "Pegasus". Le Maroc aurait eu recours au logiciel israélien pour espionner quelque 6.000 numéros algériens dont ceux de membres du gouvernement ou de proches de l'ancien président Abdelaziz Bouteflika. Le parquet algérien a lancé l'ouverture d'une enquête judiciaire.