À moins de deux mois de l'élection présidentielle algérienne, prévue le 12 décembre, les aspirants à la magistrature suprême avaient jusqu'à ce samedi minuit pour déposer leur dossier de candidature. Anciens ministres du président sortant Abdelaziz Bouteflika, ou illustres inconnus, ce sont dix candidats que cette élection verra s'opposer. Les Algériens, eux, toujours dans la rue chaque vendredi, rejette cette élection, car organisée par ce qu'on appelle "le système".