L'homme fort d'Algérie est décédé lundi 23 décembre, et un remplaçant, Saïd Chengriha, a déjà été nommé, pour assurer l'interim. Selon l'analyse de notre éditorialiste Slimane Zeghidour, la culture politique en Algérie ne reposant pas sur le culte de la personne, il ne devrait pas y avoir de déstabilisation particulière: "C'est une perte, mais ce n'est pas un chambardement dans le système".