Si nombreux sont ceux à espérer un changement de régime voire une refonte du système en Algérie, tous ne sont pas en adéquation sur la façon de procéder. D’aucuns, comme les membres du parti Jil Jadid, prône un dialogue avec le pouvoir, à l’inverse des partisans du Hirak. Le mouvement, qui fêtera ses deux ans en février, est toujours interrompu en raison de la crise sanitaire.