L'armée burkinabè a reconnu, mercredi 3 août, la mort de civils lors de frappes aériennes contre des "groupes terroristes" dans l'est du pays, lundi 1er août. Tandis que la lutte contre ces factions ne faiblit pas, l'avocat Guy Hervé Kam, également coordonnateur national du mouvement SENS (Servir et non se servir), milite pour une réforme de la politique dans le pays.