La vidéo insoutenable avait choqué le Cameroun. En 2015, des militaires assassinaient froidement deux femmes soupçonnées d'appartenir à Boko Haram ainsi que leurs enfants. Sept soldats comparaissaient en huis clos devant le tribunal militaire de Yaoundé mardi. A l'issue de l'audience, le procès a été renvoyé au 2 mars.