Malgré la menace sécuritaire qui plane sur la Centrafrique, la Cour constitutionnel du pays a confirmé que le scrutin aurait bien lieu le dimanche 27 décembre. Avec tous les risques que cela comporte pour l’intégrité de la population. Jean-François Akandji-Kombé, professeur de droit à l’Université de la Sorbonne Paris 1 évoque la « peur de ce qu’il va se passer demain, et surtout en dehors de Bangui », la capitale.