Trois pays participant au G5 Sahel, le Burkina Faso, le Mali et le Niger, sont accusés par l'ONG Amnesty International dans un rapport publié mardi 9 juin de "semer la terreur et commettre des tueries dans des villages sous couvert d'opérations antiterroristes". L'analyse de Niagalé Bagayoko, présidente du Réseau africain du secteur de la sécurité (ASSN), qui revient également sur l'attaque d'un poste des forces de sécurité ivoiriennes par un groupe djihadiste ce 11 juin.