Si les esprits peinent à se reconstruire après l'attaque de mars 2016, l'économie de Grand Bassam a, elle aussi, du mal à se relever. Après les violences électorales de 2018, les inondations l'année suivante, et désormais le coronavirus qui empêchent l'accès aux plages temporairement, la conjoncture est au plus bas. Plusieurs acteurs du tourisme envoient un appel à l'aide.