Dominique Ouattara est ce qu’on appele une « boîte à réseaux ». Un réseau qu’elle s’est construit dans le monde des affaires. Un univers où elle est reine et bien impliquée. Inconditionnel soutien de son mari, Dominique Folloroux est avant tout une femme d'affaires. Elle prend les rênes de
la société immobilière Aici en 1979, et gère les biens immobiliers de très hautes personnalités, dont feu le Président Félix Houphouët-Boigny, ou le Président Omar Bongo Odimba du Gabon. Tout en implantant des agences en Côte d'Ivoire, puis en France, elle rachète en 1996 les franchises de Jacques Dessange aux États-Unis. Dans le monde du business, elle se fait des amis et de nombreux contacts qu’elle met gracieusement à la disposition de son époux. Elle sait mobiliser des hommes mais aussi des fonds. Dominique est un peu la gardienne des relations avec les médias et un certain nombre de réseaux, y compris diplomatiques et d'argent. C'est une femme du monde, qui connaît du beau monde à l'étranger et sait se faire « aimable » pour mieux plaider la cause de son mari. Elle s’est aussi beaucoup impliquée en Côte d’Ivoire afin de mieux se faire connaitre. Très active pendant la campagne présidentielle, on l’a vu tenir des meetings et rassembler des foules. C’est un visage que les Ivoiriens (re)connaissent. Car elle a été très active pendant de nombreuses années avec son association caritative
Children of Africa, une fondation pour la promotion sociale de l'enfance en Afrique, parrainée par la princesse Ira de Fürstenberg. Sous le couvert de cette association elle a pu faire le tour des différentes régions de la Côte d’Ivoire pour vendre son « poulain », son mari. Dominique n’est peut être pas fortement impliquée dans le
Rassemblement des républicains (parti que dirige Alassane Ouattara) mais dans les grandes décisions du parti, son avis est absolument requis.