Les réactions se multiplient en Côte d’Ivoire après la rencontre, jeudi 14 juillet, entre l’actuel président, Alassane Ouattara, et ses prédécesseurs, Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo. En 2010-2011, les violences post-électorales ont fait plus de 3.000 morts dans le pays. Dès lors, les Ivoiriens se demandent s’il s’agit, de la part des trois hommes, d’un calcul politique ou d’une réelle volonté de réconciliation.