Une semaine après le début des émeutes nocturnes en Tunisie, plusieurs familles et associations ont dénoncé ce vendredi 22 janvier des abus et des interpellations arbitraires. Si le calme est globalement revenu depuis deux jours, des familles ne comprennent pas pourquoi des jeunes ont été arrêtés chez eux par les forces de police. "La majorité des dossiers comporte des vices de procédure graves", déplore une ONG.