Entre faux sondages, faux désistements et déclarations inventées, la présidentielle en Tunisie a droit, elle aussi, à son lot d'infox, de fausses informations. La candidate Selma Elloumi affirme, par exemple, que la "fake news" annonçant son retrait de candidature a été relayée jusque dans les bureaux de vote. L'ambassadeur de France, lui, a dû démentir des propos critiques contre Kais Saied, le candidat arrivé en tête au premier tour.