Sa parole est rare, son ouvrage incroyablement précis. Sur l'assassinat de Pierre Xavier Galopin, négociateur français envoyé au Tibesti à la suite de l'enlèvement de ressortissants européens, et pendu en avril 1975 par les rebelles Toubous, l'ex-président du Tchad affirme n'avoir "pas du tout de regret". "Je sais que ce que Galopin a fait au Tibesti. Il a déchiré des familles entières. Il doit mériter cette mort d'après moi."