Le 28 septembre 2009, l’opposition organise un rassemblement dans le grand stade de la capitale, Conakry. Aux ordres du chef de la junte Moussa Dadis Camara, les militaires se livrent à un massacre. Au total, 157 Guinéens sont morts et 109 femmes ont été violées. Malgré les promesses du gouvernement d’Alpha Condé et l’indignation internationale, justice n’a toujours pas été rendue.