Samedi, la Cédéao et ses chefs d'État de la sous-région ont émis un ultimatum à la Guinée. Ils sanctionneront le pays s'il ne présente pas de "chronogramme acceptable pour la transition", "au plus tard le 25 avril". Ousmane Gaoual Diallo est porte-parole du gouvernement de la Guinée. Il se dit "déçu" et réagit à ce qu'il qualifie de "diktat".