Dans trois semaines, les élections législatives en Algérie se tiendront dans un contexte particulier de répression du Hirak. Le taux de participation représente l’un des grands enjeux de ce scrutin. En novembre dernier, seuls 23 % des Algériens avaient participé au référundum sur la Constitution, taux le plus bas dans l’Algérie indépendante. Pour notre correspondant à Alger, Khaled Drareni, les autorités savent très bien que la participation sera très faible.