Tensions entre factions, violation du processus électoral, intimidation entre candidats... Comment organiser des élections dans un pays fragmenté et en plein chaos sécuritaire ? C’est la question que nombreux se posent à quelques semaines du vote officiel pour le scrutin présidentiel du 24 décembre. Ils sont 98 prétendants pour le poste dont le maréchal Khalifa Haftar.