Au sommet de la Cédéao, l'attitude des États vis-à-vis de l'embargo contre le Mali a évolué avec l'aggravation de la crise ukrainienne, explique Ousmane Ndiaye en direct d'Accra. Qui plus est, "cette année la pluviométrie a été très mauvaise au Sahel. On risque de se retrouver dans une situation catastrophique."