Arrêté fin juillet et incarcéré, le journaliste d'investigation indépendant et militant des droits humains, Omar Radi, est accusé de "financements étrangers", "atteinte à la sécurité intérieure de l'Etat" et "viol". Omar Radi se dit victime d'un harcèlement judiciaire. Ce jeudi 24 septembre, il devrait comparaître dans un autre procès, accusé cette fois d'"ivresse sur la voie publique avec insultes et injures". Mardi, il était interrogé pour la première fois par un juge d'instruction, à Casablanca.