Dans le désert du Sahara, le nombre de réfugiés expulsés par les autorités algériennes ne cessent de croître. Entre janvier et mars dernier, plus de 4.600 personnes sont arrivées aux portes du centre de transit de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), à Assamaka, au Niger. La structure d’accueil est débordée par l’afflux et peine à prendre en charge les exilés.