Une semaine après les résultats officiels provisoires du scrutin présidentiel, les émeutes ont laissé des traces dans la capitale nigérienne. Selon le ministre de l'Intérieur, Alkache Alhada, le responsable de ces violences serait l'opposant Hama Amadou qui n'avait pas pu se présenter. L'image d'une transition démocratique historique au Niger est pour le moins écornée.