Près de 20.000 personnes se sont rendues aux autorités depuis la mort du chef historique de Boko Haram, Abubakar Shekau, en mai dernier. Il s'agit en majorité de civils, femmes et enfants, retenus en otage pendant des années dans la forêt de Sambisa, désormais contrôlé par le groupe Etat islamique en Afrique de l'Ouest.