La liste des crimes reprochés à Patrice-Edouard Ngaissona est longue. Entre autres : meurtres et tentatives de meurtres, transferts forcés de population ou bien encore enrôlement d'enfants de moins de 15 ans...
Selon le communiqué de la Cour pénale internationale, c'est entre décembre 2013 et au moins décembre 2014 que ces faits auraient été constatés dans la capitale, Bangui, et dans plusieurs autres préfectures du pays.
Des faits commis par les milices anti-balaka alors que Patrice-Edouard Ngaissona en est justement le coordinateur général national. Pour les défenseurs des droits de l'Homme, son arrestation est une bonne nouvelle mais ils préféreraient voir l'actuel président de la Fédération centrafricaine de football devant les juridictions nationales...
Contacté par téléphone, le président la ligue centrafricaine des droits de l'Homme rappelle également que les anti-balaka ne se battaient pas seuls : pour lui, la CPI ferait bien de se pencher également sur les agissements des ex-seléka... Ce qui constituerait un préalable nécessaire à la paix et la réconciliation nationale.
Selon le communiqué de la Cour pénale internationale, c'est entre décembre 2013 et au moins décembre 2014 que ces faits auraient été constatés dans la capitale, Bangui, et dans plusieurs autres préfectures du pays.
Des faits commis par les milices anti-balaka alors que Patrice-Edouard Ngaissona en est justement le coordinateur général national. Pour les défenseurs des droits de l'Homme, son arrestation est une bonne nouvelle mais ils préféreraient voir l'actuel président de la Fédération centrafricaine de football devant les juridictions nationales...
Contacté par téléphone, le président la ligue centrafricaine des droits de l'Homme rappelle également que les anti-balaka ne se battaient pas seuls : pour lui, la CPI ferait bien de se pencher également sur les agissements des ex-seléka... Ce qui constituerait un préalable nécessaire à la paix et la réconciliation nationale.