Ils appartiendraient à différents groupes armés infiltrés dans le Sud-Kivu. Des rebelles rwandais des FDLR, des rebelles burundais du FNL et des "Maï-Maî Raïa Mutomboki". Au total, 47 hommes comparaissent depuis ce vendredi 14 décembre devant le tribunal militaire de garnison de Bukavu.
Ces hommes sont poursuivis pour participation à un mouvement insurectionnel, assassinats, viols, détention d'armes, recrutement d'enfant soldats et crimes de guerre. Selon l'armée congolaise, ils opéraient dans la plaine de la ruzizi, à Fizi et dans le territoire de Mwenga.
Cette audience consiste en l'identification des prévenus. La société civile se félicite de l'ouverture de ce procès et attend que la vérité éclate.
Attaques des bâtiments institutionnels, destruction du matériel électoral et autres : tout cela constitue des actes rebelles qui, pour la société civile, pourrait être un alibi pour un report des élections.
Ces hommes sont poursuivis pour participation à un mouvement insurectionnel, assassinats, viols, détention d'armes, recrutement d'enfant soldats et crimes de guerre. Selon l'armée congolaise, ils opéraient dans la plaine de la ruzizi, à Fizi et dans le territoire de Mwenga.
Cette audience consiste en l'identification des prévenus. La société civile se félicite de l'ouverture de ce procès et attend que la vérité éclate.
Attaques des bâtiments institutionnels, destruction du matériel électoral et autres : tout cela constitue des actes rebelles qui, pour la société civile, pourrait être un alibi pour un report des élections.