Ces derniers mois, des centaines de miliciens, issus notamment de l’Alliance des nationalistes congolais pour la défense des droits humains, l’un des nombreux groupes actifs armés dans l’est, ont déposé les armes. La société civile s’inquiète toutefois du manque d’encadrement de ces hommes, qui pour certains, finissent par repartir en brousse. Les populations continuent par ailleurs de subir les violences en Ituri et au Nord-Kivu, en état de siège depuis le mois de mai.