C'est la dernière fierté de l'université de Kinshasa. Du matériel de pointe capable d'analyser l'ADN. C'est le centre de génétique humaine de la faculté de médecine qui l'a commandé. Et depuis qu'il a ouvert ses portes en 2014, il répond à une demande qui ne cesse de croître : des tests de paternité, autrement dit pour "la paix du coeur". La génétique n'aura donc désormais plus de mystère pour ces pères qui doutent de leur lien de filiation avec leurs enfants. Mais trancher les conflits familiaux, ce n'est pas la seule finalité du centre de génétique humaine. Il peut désormais épauler les experts de la police scientifique de Kinshasa.