Devant l'Hotel de ville de Béni où des barricades ont été érigées, des centaines d'élèves ont décidé de spontanément exprimer leur colère.
Les cris désespérés et les slogans qui réclament la paix témoignent d'une jeunesse plus que jamais désabusée.
A l'occasion d'une visite d'inspection de l'insécurité de membres de l'Assemblée nationale, ces écoliers ont décidé de dire stop. Ce qu'ils réclament avant tout, c'est de pouvoir se rendre à l'école et d'y être en sécurité
La délégation de députés, surprise par cette manifestation, dit avoir reçu le message : "Nous sommes tombés sur une manifestation d'écoliers qui manifestent leur ras le bol par rapport aux massacres qu'ils vivent au quotidien. Ils sont solidaires de leurs condisciples qui ne peuvent pas aller à l'école parcequ'elles sontfermées pour des raisons sécuritaires", déclare Grégoire Kiro Tsongo, député national.
Reste à voir si des décisions seront enfin prises par Kinshasa... Pour que les élèves ne risquent plus leur vie en voulant, tout simplement, étudier.
Les cris désespérés et les slogans qui réclament la paix témoignent d'une jeunesse plus que jamais désabusée.
A l'occasion d'une visite d'inspection de l'insécurité de membres de l'Assemblée nationale, ces écoliers ont décidé de dire stop. Ce qu'ils réclament avant tout, c'est de pouvoir se rendre à l'école et d'y être en sécurité
La délégation de députés, surprise par cette manifestation, dit avoir reçu le message : "Nous sommes tombés sur une manifestation d'écoliers qui manifestent leur ras le bol par rapport aux massacres qu'ils vivent au quotidien. Ils sont solidaires de leurs condisciples qui ne peuvent pas aller à l'école parcequ'elles sontfermées pour des raisons sécuritaires", déclare Grégoire Kiro Tsongo, député national.
Reste à voir si des décisions seront enfin prises par Kinshasa... Pour que les élèves ne risquent plus leur vie en voulant, tout simplement, étudier.