En reconnaissant l’assassinat de l’avocat algérien, Ali Boumendjel, par l’armée française en 1957, Emmanuel Macron tend la main à son homologue algérien, Abdelmajid Tebboune. Un geste d’apaisement qui intervient un mois et demi après la remise du rapport Stora. Pour Slimane Zeghidour, éditorialiste à TV5MONDE, cela constitue "un pas énorme" dans le but de "réconcilier non seulement la France et l’Algérie mais aussi l’opinion française avec elle-même".