Le 1er novembre, les Algériens sont appelés à voter pour un changement de constitution. Une décision du président Tebboune contestée par nombre de citoyens. A commencer par la date, symbolique, puisqu’elle coïncide avec le jour d’anniversaire du début de la guerre d’indépendance. D’aucuns y voient là une provocation. En outre, le projet présidentiel est loin de faire consensus et beaucoup estiment que les revendications de la rue, dont celles du Hirak, ne sont pas entendues.