Cet art décoratif vieux de trois siècles a failli disparaître lors du génocide des Tutsis. Uniquement pratiqué par des femmes, transmis de mère en fille, des survivantes ont réussi à le sauver. Des victimes du génocide le pratiquent dans une coopérative ce qui leur permet de dégager des revenus pour vivre. Il est une source d'inspiration pour les créateurs d'aujourd'hui.