Le 18ème sommet de la Francophonie organisé sur l’île de Djerba, en Tunisie, est l’occasion de revenir sur la place qu’occupe la langue française dans le monde. Et notamment au Québec où son poids recule. En tant qu’autrice québéco-tunisienne, Mélikah Abdelmoumen, qui réside à Montréal, lutte, notamment via la revue de littérature, Lettres québécoises, dont elle est rédactrice en cheffe, pour maintenir le français sur « au milieu d’une mer anglophone. »