De nombreux ressortissants étrangers demeurent coincés à Khartoum. Dans les chancelleries étrangères, l’organisation des opérations d’exfiltration tourne au casse-tête. Le Japon a été le premier à procéder au rapatriement des siens. Français et Américains s'y préparent depuis Djibouti, où l'armée française est basée.