Omar el-Béchir va être remis à la Cour pénale Internationale, par les nouvelles autorités soudanaises. Poursuivi pour "crimes de guerre", "crimes contre l'humanité" et "génocide" depuis 2009, l'ex-président soudanais est incarcéré depuis sa destitution. L'annonce a été faite ce mardi 12 février, lors des pourparlers de paix avec les rebelles du Darfour. Une analyse de Marc Lavergne, chercheur au CNRS.