Au troisième jour de mobilisation, ils sont toujours des milliers à manifester à Khartoum, la capitale du Soudan. Selon des témoins, la police anti-émeute aurait tenté de disperser la foule à coup de gaz lacrymogènes. L'armée, elle, a déployé des troupes autour de son QG pour empêcher des véhicules d'approcher.