Alors qu'un cessez-le-feu timide entre, mercredi 26 avril, dans son deuxième jour, l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a alerté, la veille, sur "un risque biologique énorme" à Khartoum. Les belligérants occupent un laboratoire public dans lequel se trouve des échantillons d'agents pathogènes hautement contagieux.