Après les Forces de soutien rapide (FSR), le matin, l’armée régulière à son tour annoncé accepter une pause des combats dans la soirée du vendredi 21 avril. Mais la trêve tiendra-t-elle alors que chaque camp s’accuse mutuellement de ne pas respecter le cessez-le-feu ? Selon la journaliste indépendante présente à Khartoum, Augustine Pasilly, la mise en place « d’un couloir humanitaire devient urgent pour évacuer les corps qui gisent à même le sol, parfois depuis plusieurs jours. »