Une partie de l'opposition et de la société civile tchadienne s'est indignée vis-à-vis des conditions du dialogue national. La date des discussions a été fixée au 20 août par le gouvernement, mais ses adversaires estiment qu'il s'agit d'un dialogue qui ne sera ni souverain, ni inclusif. Précisions avec notre notre correspondante Aurélie Bazzara-Kibangula.