Le début d’année 2022 est marquée, dans le pays, par la grâce présidentielle de plus de 1.300 détenus. En revanche, il n’est fait nulle mention, de la part les autorités tunisiennes, de l’arrestation, au soir du 31 décembre, de l’homme fort d’Ennahdha, Noureddine Bhiri. Ce farouche opposant est au cœur d’un bras de fer avec le président, Kaïs Saïed. Le parti islamiste dénonce une tentative d’intimidation de la part du gouvernement.