Le président tunisien, Kaïs Saïed, qui s'est arrogé les pleins pouvoirs depuis fin juillet, a annoncé une nouvelle fois, lundi 20 septembre, la nomination prochaine d'un premier ministre sans toutefois préciser quand. Pour l'heure, la démocratie parlementaire est à l'arrêt. L'inquiétude gagne la communauté internationale et la société civile.