Après des mois de controverse, les parlementaires ont rejeté la proposition de loi destinée à lever l'interdiction de l'excision, en vigueur depuis 2015, malgré les pressions, dans ce pays où le taux de mutilations génitales féminines (MGF) atteint 73% chez les femmes et filles âgées de 15 à 49 ans.