Avec « Haut et Fort », sélectionné au Festival de Cannes 2021, Nabil Ayouch revient avec un septième long-métrage dans lequel il se consacre au hip-hop comme vecteur d’émancipation. Dans ce qu’il confie être son film « le plus autobiographique », le réalisateur franco-marocain est retourné dans un centre culturel qu’il a lui-même crée à Sidi Moumen, un quartier de Casablanca.