Le film de Leyla Bouzid "A peine j'ouvre les yeux" évoque les mois qui ont précédé la révolution tunisienne en 2010. Une période de paranoïa encore peu traitée par les réalisateurs au cinéma.
La réalisatrice Leyla Bouzid revient dans son premier long métrage "A peine j'ouvre les yeux" sur le climat qui régnait en Tunisie l'été 2010, quelques mois avant la chute de Ben Ali. Son film aborde la chape de plomb et le sentiment d'étouffement à travers un groupe de jeunes. Elle était invitée de "Maghreb-Orient Express" ce dimanche 8 novembre 2015.