Un doigt levé en dehors du passage clouté, et une gifle. C'est le point de départ du livre de Dalie Farah, professeur de lettres et autrice. Le doigt publié chez Grasset s'est construit "comme un polar" nous raconte-t-elle. "Si je veux raconter et faire la mise à nu de la violence, je n'ai pas d'autre choix que d'une écriture qui va aller jusqu'à la peau, jusque dans la chair."