Une Odyssée plus sonore, plus musicale. C’est ce à quoi s’est attelé le traducteur, Emmanuel Lascoux, dans une nouvelle traduction de l’épopée grecque antique attribuée à Homère. De cette langue « intraduisible », « produite de l’art, faite de dialectes différents », le philologue a voulu en faire une version plus mélodieuse.