"Il est temps de se marrer dans les galeries " assène-t-il.
Aussi, le dessinateur a revisité les grands maîtres. Il sort un album "L'art et le chat" (Ed. Casterman) et présente une exposition au Musée en Herbe à Paris
Plaisir garanti.
Cela donne, par exemple, cet hommage inattendu (et gonflé..) au plasticien Victor Vasarely :

OU encore cet hommage particulier à Edvard Munch :

A nos confrères de France-Culture, le dessinateur confiait : "Je suis persuadé que face à un tableau, c'est l'émotion qui compte. On peut très bien ne pas comprendre, ou ignorer tout de la démarche de l'artiste, mais être simplement ému devant une oeuvre. En Océanie, on a fait écouter de la musique de Jean-Sébastien Bach et ils avaient les larmes aux yeux, parce que c'est universel. Avec la peinture, c'est la même chose.
La dernière fois que j'ai vu un tableau de Jackson Pollock au Moma (Museum of Modern Art à New York), j'ai été vraiment noué par l'émotion. Je suis fasciné par son travail. J'ai une réaction similaire devant une toile de Basquiat, ou d'Andy Wahrol. C'est quelque chose qui vous prend au plexus, que vous ne vous expliquez pas, qui ne passe pas par la tête qui va directement des yeux à l'âme."