Cette édition 2017 se déroulera non seulement en France, mais aussi en Belgique, Italie, Espagne, Grèce ou encore aux Pays-Bas, où du 15 au 29 juin, des restaurants confieront leur cuisine à des chefs réfugiés pour un soir.
"C'est Mohammad El Khaldy, un grand chef syrien, qui a ouvert le bal (à Lyon, France). C'est (sa) deuxième édition, il a déjà participé à l'édition parisienne l'année dernière."
"Le premier objectif du festival, c'est de contribuer à changer un peu le regard sur les personnes réfugiées, en valorisant le talent, les compétences, le patrimoine culturel et culinaire de ces personnes qui arrivent en Europe".
"Il y a des cuisiniers syriens, mais aussi d'Afghanistan, d'Ethiopie, de Géorgie, d'Inde, du Sri Lanka, d'Albanie, de Somalie..."
"Il y a une solidarité énorme, tous les restaurateurs qu'on a sollicités, ont répondu présents, avec beaucoup d'enthousiasme et d'intérêt culinaire aussi. A chaque fois, c'est du cas par cas, soit ils créent à quatre mains un menu original, soit c'est une carte blanche qui est laissée au chef invité".
"Après la première édition l'année dernière, on a reçu énormément de demandes de citoyens en France et en Europe qui voulaient organiser un festival. Avec les Nations Unies, on a développé un guide en ligne qui permet à n'importe qui d'organiser un festival. Dans les 13 villes européennes, le festival est donc organisé par un citoyen, avec notre accompagnement, mais c'est vraiment une mobilisation citoyenne."
"C'est Mohammad El Khaldy, un grand chef syrien, qui a ouvert le bal (à Lyon, France). C'est (sa) deuxième édition, il a déjà participé à l'édition parisienne l'année dernière."
"Le premier objectif du festival, c'est de contribuer à changer un peu le regard sur les personnes réfugiées, en valorisant le talent, les compétences, le patrimoine culturel et culinaire de ces personnes qui arrivent en Europe".
"Il y a des cuisiniers syriens, mais aussi d'Afghanistan, d'Ethiopie, de Géorgie, d'Inde, du Sri Lanka, d'Albanie, de Somalie..."
"Il y a une solidarité énorme, tous les restaurateurs qu'on a sollicités, ont répondu présents, avec beaucoup d'enthousiasme et d'intérêt culinaire aussi. A chaque fois, c'est du cas par cas, soit ils créent à quatre mains un menu original, soit c'est une carte blanche qui est laissée au chef invité".
"Après la première édition l'année dernière, on a reçu énormément de demandes de citoyens en France et en Europe qui voulaient organiser un festival. Avec les Nations Unies, on a développé un guide en ligne qui permet à n'importe qui d'organiser un festival. Dans les 13 villes européennes, le festival est donc organisé par un citoyen, avec notre accompagnement, mais c'est vraiment une mobilisation citoyenne."